Pour les prochaines propositions  voir l’agenda.

Mai 2024: La session de jeûne programmée en Bretagne a finalement eu lieu dans la Maison d’Accueil des frères à Ploërmel. Huit retraitantes en ont profité et sont reparties avec de beaux fruits…

Octobre 2023 : session de jeûne à l’Abbaye de Blauvac (Vaucluse). Quel bel accueil, quel beau lieu et quel vécu pour notre groupe de 16 jeûneurs ! Cette session en silence, organisée par la Fraternité séculière de Charles de Foucault, a permis à chacun de se reconnecter à son intériorité, de se renouveler au contact de la Parole et du témoignage de Frère Charles et de puiser des énergies nouvelles dans l’expérience du jeûne (sans oublier les escapades dans les vignes alentour!).

Quelques mots de Mylène :

Soif et faim,
Vide et plein,
Urgence et Fécondité,
Dans la profondeur du Cœur, silence…

C’était huit jours de vie intense,
De décapage par le jeûne,
D’élagage par la spiritualité,
L’occasion merveilleuse pour moi
De prendre un nouveau départ
Tant au niveau alimentaire,
en savourant chaque chose modérément, tranquillement,
En y associant une transformation, au niveau spirituel,
Sur le chemin ascendant d’une conversion essentielle…

Juillet 2023 Session jeûne à St Hugues,  une participante témoigne : « Mes amis ont pris plaisir à m’entendre partager ce que j’avais pu vivre dans le cadre de ce temps de jeûne, de « reconnexion » au corps, aux 5 sens, à l’esprit… L’une de mes amies m’a d’ailleurs dit qu’elle avait l’impression que j’avais mué et déposé ma vieille peau  pendant ce jeûne. »

2023 La retraite « Quand le corps devient prière » se donne maintenant  dans des lieux divers : St Hugues de Biviers (38),  Châtelard (69),  Maison du Grand Pré (74), Port Bourgenay (85).

Avril 2020 : au coeur du confinement, une retraite à distance avec jeûne, pour le plus grand bien des participantes; même l’atelier de relaxation a pu être proposé et vécu !

Septembre 2019 : Au Châtelard, la retraite avec le jeûne  a été expérimentée par 18 personnes. Les ateliers avec le corps ont porté beaucoup de fruits de détente et de prise de conscience ainsi que de réconciliation avec soi-même. Quand aux deux temps de prière avec les récitatifs « Ils ont fait descendre la Parole jusqu’à la moelle » ils ont permis de prendre son temps avec la Parole et de la goûter en profondeur.

Septembre 2018 : A Alger, le thème de chaque jour de retraite est introduit par un récitatif biblique à la prière du matin. Une religieuse de NDA témoigne « I was at home ! I was confortable! »

Août 2018 au Châtelard ; quelques retraitants (Exercices de St Ignace) ont profité de l’atelier quotidien de relaxation  « C’est venu enrichir notre retraite » ; certains ont vécu de vrais moments de lâcher-prise à tous points de vue.

Octobre 2017 à Lourdes, aux Universités de la diaconie et de la solidarité, le groupe de danses d’Annecy a proposé un atelier de danses traditionnelles, dans une perspective de transmission d’un savoir-faire. Marie-Louise a magnifiquement témoigné du vécu dans les rencontres à Annecy.

Janvier-Février 2017. Autant au Centre St Hugues que chez les Clarisses de Cormontreuil le rendez-vous pour la halte spirituelle avec les danses en cercles a été vivant et profond.

Le thème fraternité-solidarité a nourri les trois jours de St Hugues; celui de la Chandeleur a éclairé le week-end à Cormontreuil.
Les participants apprécient de danser mais aussi d’avoir des topos, du temps personnel et des temps de partage.

Mars 2016. Nous étions 21, avec le beau temps, avec les danses, avec la beauté du Monastère Ste Claire, avec la présence de deux Soeurs Clarisses, avec une équipe CVX au complet …. tout ce qu’il faut pour un temps fort de convivialité et de ressourcement.

Je laisse la parole à Claude :
Cette halte spirituelle a été pour moi un moment très fort dans ce Carême 2016, bien plus que je ne l’avais imaginé ! Très reposant, mais aussi ressourçant.

J’attendais certes de pouvoir vivre une expérience spirituelle avec tout mon être, intégrant la dimension corporelle, mais je ne pensais pas que ce que je vivais avec mon corps pouvait avoir une telle incidence sur mon « mental ».

J’ai eu l’impression d’une libération, d’avoir pu déposer beaucoup ! … la danse du pin Mikonos a certainement aidé !

Cela m’a vraiment donné le goût de donner (déjà pour moi) plus de place à la dimension corporelle, et le désir de le faire partager à d’autres !

J’ai beaucoup apprécié la façon d’introduire les danses, les petits commentaires semés ici et là, interpellant le sens de ce que nous étions en train de vivre. L’invitation à les vivre un peu comme des exercices …

Les introductions aux temps personnels, brèves et pertinentes ont été précieuses, j’ai été percutée en particulier par la phrase : « Marie Madeleine s’accroche à un cadavre ».

Ces deux jours m’ont aussi renforcé dans le désir de vivre une retraite lors des vacances de printemps.

Un autre fruit inattendu !

Janvier 2016 : la danse créée en lien avec le Secours Catholique d’Annecy a désormais un nom : Anawim, le nom des pauvres et des humbles de la Première Alliance. Elle touche tous ceux qui la découvrent.